Des paroles et des actes.
En cette année du cinquantième anniversaire de ma première correspondance avec René Péchard, il m’a semblé opportun de confronter, au rythme des éditos de l’année qui vient, notre action aux intuitions des origines à partir des écrits authentiques qu’il nous a légués . Cela seul fonde une légitimité.
Voici, pour commencer ce qu’il disait de la dimension apolitique qui fonderait la légitimité éventuelle de ceux qui se réclameraient de lui par delà la mort :
” Quels que soient les avantages matériels qui pourraient nous être offerts, nous ne devons nous lier à aucun parti politique. Chacun a son opinion, peut appartenir à un parti, mais ce doit êtyre discret et jamais E.M. ne doit être mêlé aux opinions de ses dirigeants“.
L’institut du Fleuve respecte scrupuleusement cette règle.
Jean-Claude Didelot